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Les Echos du Sud-Ouest

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Gouvernement Albert 1: Le parcours du ministre Abel Seglaro Somé


Secrétaire général du ministère de l’économie depuis 2016,Dr Seglaro Abel SOMÉ est le ministre de l’Economie, des Finances et de la Prospective. Il a eu la confiance des nouvelles autorités de la transition
Docteur Abel Seglaro Somé est un visage bien connu du peuple Burkinabè. En effet Il a été expert en Economie des institutions au Centre d’analyse des politiques économiques et sociales (CAPES) de 2002 à 2011, Coordonnateur de la Cellule permanente du mécanisme institutionnel chargé de conduire le processus de révision du Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (CSLP) pour l’élaboration de la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD) de 2009 à 2010, Secrétaire exécutif du Secrétariat technique national de la SCADD (STN/SCADD) pour la coordination du suivi et de l’évaluation de la mise en œuvre de la SCADD, ainsi que pour l’élaboration du Plan national de développement économique et social (PNDES) de 2011 à 2016.
Il est économiste et enseignant-chercheur à l’Unité de formation et de recherche en sciences économiques et de gestion (UFR/SEG) de l’Université Thomas Sankara (ex Université Ouaga II) depuis 1995. Il y a dispensé le cours de statistique en première année de 1996 à 2002 et celui d’économie industrielle en quatrième année de 1995 à 2020.
Au plan extraprofessionnel, il a été scout depuis son enfance, ce qui l’a conduit à assumer diverses responsabilités dans le mouvement scout burkinabè jusqu’à la fonction de Président de l’Association des Scouts du Burkina Faso (ASBF) de 2006 à 2012.
Son parcours scolaire et académique le crédite d’un baccalauréat série C (mathématiques et sciences physiques) obtenu en 1987, d’une maîtrise en sciences économiques, option planification et développement de l’Université de Ouagadougou (1991), d’un Diplôme d’études approfondies (DEA) d’économie industrielle et d’un doctorat en sciences économiques obtenus à l’Université de Toulouse 1 respectivement, en 1992 et 1995.
Source: Direction de la communication du ministère de l’économie


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